Le capitalisme, au XXè siècle, a fait de la libido sa principale énergie : l'énergie qui, canalisée sur les objets de la consommation, permet d'absorber les excédents de la production industrielle, en suscitant, par des moyens de captation de la libido, des désirs entièrement façonnés selon les besoins de la rentabilité des investissements. Or, aujourd'hui, cette captation de la libido a fini par la détruire, et ce fait majeur constitue une immense menace pour la civilisation industrielle : elle conduit inévitablement, à terme, à une crise économique mondiale sans précédent.
Friday, June 18, 2010
Freudo-Marxism mark 3 (or higher)
Subscribe to:
Post Comments (Atom)
No comments:
Post a Comment